Titre : | Petit amie imaginaire (La) | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | John IRVING, Auteur | Editeur : | Seuil (Editions du) | Année de publication : | 1996 | Importance : | 174p | Format : | 20.5x14cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-02-028931-3 | Note générale : | Ce livre n'est autre que les mémoires de l'auteur. On découvre un John Irving en adolescent maladroit et emprunté. Sa vie tourne principalement autour de la lutte et de l'écriture. Ouvrage assez court entre autodérision et humour, pour tous ceux qui voudraient se lancer dans l'écriture et n'osent pas | Langues : | Français Langues originales : Anglais | Catégories : | FICTIONS:Auto (Biographie) FICTIONS:ROMANS:Romans divers
| Index. décimale : | 82-31 Roman (R-RP-RSF)
| Résumé : | Malicieuse, modeste, pleine de sincérité, La Petite Amie imaginaire décrit les rapports de John Irving avec la lutte et l’écriture ? le parallélisme est plus étroit qu’on ne l’imaginerait. Entendons par là une description concrète de la façon dont il a appris puis enseigné les deux arts, une réflexion sur le cours de sa vie et la naissance de ses centres d’intérêt. Au fil de ses récits et de ses digressions, il évoque ses rencontres avec des hommes remarquables », entraîneurs sportifs ou professeurs de littérature qui ont joué le même rôle stimulant.
Adolescent, il est emprunté, gaffeur, mal à l’aise partout. Partout sauf sur le tapis de la salle de lutte. Et lorsqu’il ne lutte pas, il lit les classiques, Dickens, Flaubert, Graham Greene, Thomas Mann. Étudiant, bientôt marié et père de famille rangé, il est arbitre et entraîneur tout en enseignant la littérature et en poursuivant son œuvre romanesque.
Élevés dans les gymnases, les deux fils aînés grandissent et deviennent champions de lutte. Le troisième, âgé de quatre ans, est un futur poids-moyen, diagnostique l’athlète. | Nature du document : | Fiction |
Petit amie imaginaire (La) [texte imprimé] / John IRVING, Auteur . - [S.l.] : Seuil (Editions du), 1996 . - 174p ; 20.5x14cm. ISBN : 978-2-02-028931-3 Ce livre n'est autre que les mémoires de l'auteur. On découvre un John Irving en adolescent maladroit et emprunté. Sa vie tourne principalement autour de la lutte et de l'écriture. Ouvrage assez court entre autodérision et humour, pour tous ceux qui voudraient se lancer dans l'écriture et n'osent pas Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : | FICTIONS:Auto (Biographie) FICTIONS:ROMANS:Romans divers
| Index. décimale : | 82-31 Roman (R-RP-RSF)
| Résumé : | Malicieuse, modeste, pleine de sincérité, La Petite Amie imaginaire décrit les rapports de John Irving avec la lutte et l’écriture ? le parallélisme est plus étroit qu’on ne l’imaginerait. Entendons par là une description concrète de la façon dont il a appris puis enseigné les deux arts, une réflexion sur le cours de sa vie et la naissance de ses centres d’intérêt. Au fil de ses récits et de ses digressions, il évoque ses rencontres avec des hommes remarquables », entraîneurs sportifs ou professeurs de littérature qui ont joué le même rôle stimulant.
Adolescent, il est emprunté, gaffeur, mal à l’aise partout. Partout sauf sur le tapis de la salle de lutte. Et lorsqu’il ne lutte pas, il lit les classiques, Dickens, Flaubert, Graham Greene, Thomas Mann. Étudiant, bientôt marié et père de famille rangé, il est arbitre et entraîneur tout en enseignant la littérature et en poursuivant son œuvre romanesque.
Élevés dans les gymnases, les deux fils aînés grandissent et deviennent champions de lutte. Le troisième, âgé de quatre ans, est un futur poids-moyen, diagnostique l’athlète. | Nature du document : | Fiction |
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