Titre : | Je l'aimais | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Anna GAVALDA, Auteur | Editeur : | J'ai lu Editions | Année de publication : | 2003 | Importance : | 155p. | Format : | 18x11 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-290-34078-3 | Langues : | Français | Catégories : | FICTIONS:Qualités - Défauts:Courage FICTIONS:Qualités - Défauts:Lâcheté FICTIONS:ROMANS:Romans d'amour FICTIONS:Sentiments / Ambiances FICTIONS:Sentiments / Ambiances:Amour FICTIONS:Sentiments / Ambiances:Relations familiales
| Index. décimale : | 82-31 Roman (R-RP-RSF)
| Résumé : | " On biaise, on s'arrange, on a notre petite lâcheté dans les pattes comme un animal familier. On la caresse, on la dresse, on s'y attache. C'est la vie. II y a les courageux et puis ceux qui s'accommodent. C'est tellement moins fatigant de s'accommoder... "
A-t-on le droit de tout quitter, femme et enfants, simplement parce que l'on se rend compte - un peu tard - que l'on s'est peut-être trompé ? Adrien est parti. Chloé et leurs deux filles sont sous le choc. Le père d'Adrien apporte à la jeune femme son réconfort. À sa manière : plutôt que d'accabler son fils, il semble lui porter une certaine admiration. Son geste est égoïste, certes, mais courageux.
Lui n'en a pas été capable. Tout au long d'une émouvante confidence, il raconte à sa belle-fille comment, jadis, en voulant lâchement préserver sa vie, il a tout gâché.
| Nature du document : | Fiction |
Je l'aimais [texte imprimé] / Anna GAVALDA, Auteur . - [S.l.] : J'ai lu Editions, 2003 . - 155p. ; 18x11 cm. ISBN : 978-2-290-34078-3 Langues : Français Catégories : | FICTIONS:Qualités - Défauts:Courage FICTIONS:Qualités - Défauts:Lâcheté FICTIONS:ROMANS:Romans d'amour FICTIONS:Sentiments / Ambiances FICTIONS:Sentiments / Ambiances:Amour FICTIONS:Sentiments / Ambiances:Relations familiales
| Index. décimale : | 82-31 Roman (R-RP-RSF)
| Résumé : | " On biaise, on s'arrange, on a notre petite lâcheté dans les pattes comme un animal familier. On la caresse, on la dresse, on s'y attache. C'est la vie. II y a les courageux et puis ceux qui s'accommodent. C'est tellement moins fatigant de s'accommoder... "
A-t-on le droit de tout quitter, femme et enfants, simplement parce que l'on se rend compte - un peu tard - que l'on s'est peut-être trompé ? Adrien est parti. Chloé et leurs deux filles sont sous le choc. Le père d'Adrien apporte à la jeune femme son réconfort. À sa manière : plutôt que d'accabler son fils, il semble lui porter une certaine admiration. Son geste est égoïste, certes, mais courageux.
Lui n'en a pas été capable. Tout au long d'une émouvante confidence, il raconte à sa belle-fille comment, jadis, en voulant lâchement préserver sa vie, il a tout gâché.
| Nature du document : | Fiction |
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