Titre : | Kookaburra | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Crisse / Mitric, Auteur | Editeur : | Soleil Production | Année de publication : | 08-2004 | Importance : | 46p. de dessin | Format : | 31x 24 | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84565-044-2 | Langues : | Français | Catégories : | Bandes dessinées [BD]
| Index. décimale : | BD Bande dessinée (BD) | Résumé : | L es ordinateurs de l'Alliance terrienne ont capté un étrange message. Une prédiction ! Une prédiction qui aurait été émise de la Terre, il y a environ 20 000 ans. Une prédiction qui proclamerait l'avènement de 5 enfants dieux. Le lieutenant Dragan Preko, Space Sniper des armées de l'Alliance, se trouve malgré lui entraîné dans des aventures dont il ne se doute pas un seul instant qu'elles décideront de l'avenir de l'univers.
Tandis que les flottes de l’Alliance et callystes s’apprêtent à s’affronter, Dragan Preko et son équipe se lancent à la poursuite des ravisseurs du généralissime, à savoir le prince-sorcier Kubilaïkhaa, l’Amazone Taman-kha et le Dakoïd rouge. Alors que dans le système Ragnarok, l’enfer de la guerre se déchaîne, la prophétie qui veut que les cinq enfants-dieux se rejoignent est sur le point de s’accomplir.
Non, vous ne rêvez pas. Après cinq ans d’espoirs déçus, de prières non exaucées, de pleurs non consolés... Bref après cinq années de plaintes incessantes sur les forums BD de toute la francophonie, Crisse s’est enfin décidé à livrer la suite d’un des séries futuristes les plus populaires du moment.
Cinq ans qu'on l’attendait, cinq ans qu’on en rêvait, cinq ans que Crisse a pris pour mettre sur papier une histoire correcte qui ravira, sans aucun doute, les fans de la série. L’histoire reprend, en effet, les éléments qui avaient fait le succès des trois premiers tomes : actions, rebondissements, guerre spatiale, intrigues politiques, relation houleuse entre le space sniper et l’amazone et toujours en fond de toile, cette légende d’enfants-dieux sur laquelle on n'apprend finalement pas grand-chose, Crisse livrant un certain nombre d’informations mais toujours sans fil conducteur. Bref, on ne sait toujours pas le pourquoi de cette prédiction.
Et c’est là que le bât blesse : après cinq années d’une patience plus que mise à rude épreuve (notamment par la publication de la série connexe Kookabura Universe), le lecteur était en droit de lire autre chose qu’une suite « correcte » de cette série. Un début d’explication « cohérente » à cette prédiction aurait, au minimum, dû figurer au menu de ce numéro 4. Cet album se résume donc par de l'action, peu d'explication et beaucoup de questions sans réponses. Après tout ce temps, n'avoir entre les mains qu'un album de transition, avouez que c'est assez frustant.
Coté dessin, c’est Mitric qui reprend le flambeau. Transition sans bavures, à laquelle le 1er tome de Kookabura Universe nous avait préparés. Néanmoins, on regrettera fortemment un manque de détails dans les décors, surtout par rapport aux premiers albums de la série.
En fin de compte, Système Raganarok est une bande dessinée acceptable mais qui déçoit par son manque d’innovation par rapport aux autres numéros. Et après cinq années d’attente, comme dirait notre ami Cyrano : c’est un peu court, jeune homme… | Nature du document : | Bande dessinée |
Kookaburra [texte imprimé] / Crisse / Mitric, Auteur . - [S.l.] : Soleil Production, 08-2004 . - 46p. de dessin ; 31x 24. ISBN : 978-2-84565-044-2 Langues : Français Catégories : | Bandes dessinées [BD]
| Index. décimale : | BD Bande dessinée (BD) | Résumé : | L es ordinateurs de l'Alliance terrienne ont capté un étrange message. Une prédiction ! Une prédiction qui aurait été émise de la Terre, il y a environ 20 000 ans. Une prédiction qui proclamerait l'avènement de 5 enfants dieux. Le lieutenant Dragan Preko, Space Sniper des armées de l'Alliance, se trouve malgré lui entraîné dans des aventures dont il ne se doute pas un seul instant qu'elles décideront de l'avenir de l'univers.
Tandis que les flottes de l’Alliance et callystes s’apprêtent à s’affronter, Dragan Preko et son équipe se lancent à la poursuite des ravisseurs du généralissime, à savoir le prince-sorcier Kubilaïkhaa, l’Amazone Taman-kha et le Dakoïd rouge. Alors que dans le système Ragnarok, l’enfer de la guerre se déchaîne, la prophétie qui veut que les cinq enfants-dieux se rejoignent est sur le point de s’accomplir.
Non, vous ne rêvez pas. Après cinq ans d’espoirs déçus, de prières non exaucées, de pleurs non consolés... Bref après cinq années de plaintes incessantes sur les forums BD de toute la francophonie, Crisse s’est enfin décidé à livrer la suite d’un des séries futuristes les plus populaires du moment.
Cinq ans qu'on l’attendait, cinq ans qu’on en rêvait, cinq ans que Crisse a pris pour mettre sur papier une histoire correcte qui ravira, sans aucun doute, les fans de la série. L’histoire reprend, en effet, les éléments qui avaient fait le succès des trois premiers tomes : actions, rebondissements, guerre spatiale, intrigues politiques, relation houleuse entre le space sniper et l’amazone et toujours en fond de toile, cette légende d’enfants-dieux sur laquelle on n'apprend finalement pas grand-chose, Crisse livrant un certain nombre d’informations mais toujours sans fil conducteur. Bref, on ne sait toujours pas le pourquoi de cette prédiction.
Et c’est là que le bât blesse : après cinq années d’une patience plus que mise à rude épreuve (notamment par la publication de la série connexe Kookabura Universe), le lecteur était en droit de lire autre chose qu’une suite « correcte » de cette série. Un début d’explication « cohérente » à cette prédiction aurait, au minimum, dû figurer au menu de ce numéro 4. Cet album se résume donc par de l'action, peu d'explication et beaucoup de questions sans réponses. Après tout ce temps, n'avoir entre les mains qu'un album de transition, avouez que c'est assez frustant.
Coté dessin, c’est Mitric qui reprend le flambeau. Transition sans bavures, à laquelle le 1er tome de Kookabura Universe nous avait préparés. Néanmoins, on regrettera fortemment un manque de détails dans les décors, surtout par rapport aux premiers albums de la série.
En fin de compte, Système Raganarok est une bande dessinée acceptable mais qui déçoit par son manque d’innovation par rapport aux autres numéros. Et après cinq années d’attente, comme dirait notre ami Cyrano : c’est un peu court, jeune homme… | Nature du document : | Bande dessinée |
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