Titre : | Alouette (L') | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean ANOUILH, Auteur | Editeur : | Poche | Année de publication : | 1953 | Importance : | 182p | Format : | 16x11cm | Langues : | Français | Catégories : | FICTIONS:THEATRE:Théâtre dramatique
| Index. décimale : | 82-2 Théâtre (pièces) | Résumé : | Jeanne d'Arc, l'Alouette, capturée et vendue aux Anglais se trouve à Rouen, face à ses juges. Sur un ton tragicomique, cette pièce de théâtre présente les scènes d'accusation de l'évêque Cauchon assez compréhensif, de l'Inquisiteur borné, du promoteur sévère, du comte de Warwick, se voulant juste et fair-play, et les flash back qui retracent toute l'épopée de la Pucelle. Tour à tour naïve et insolente, Jeanne, toujours pleine de bon sens, leur tient tête crânement. Pourtant, devant les assauts répétés de ses contradicteurs, elle consent à renier ses actes et ses certitudes passées pour échapper au bûcher. Mais au dernier moment, dans un élan d'héroïsme, elle revient sur son abjuration et décide de devenir pour toujours l'héroïne qu'au fond d'elle, elle souhaite être, rejetant un destin médiocre de condamnée à perpétuité ou d'icône oubliée. Scène oubliée, le sacre de Charles VII à Reims termine la pièce en apothéose sur une Jeanne d'Arc triomphante pour l'éternité.
Pour Anouilh, Jeanne d'Arc n'est pas morte brûlée sur le bûcher, elle est la femme éternelle plus que la sainte de l'Histoire de France. Elle est immortelle car elle représente un concept : celui de la Liberté, de l'intelligence, du bon sens, de la sagesse du peuple, de l'indépendance face à la sottise bornée des puissants et des institutions établies dans leurs certitudes souvent creuses. Une pièce magnifique, pleine d'humour et de philosophie. | Nature du document : | Fiction |
Alouette (L') [texte imprimé] / Jean ANOUILH, Auteur . - [S.l.] : Poche, 1953 . - 182p ; 16x11cm. Langues : Français Catégories : | FICTIONS:THEATRE:Théâtre dramatique
| Index. décimale : | 82-2 Théâtre (pièces) | Résumé : | Jeanne d'Arc, l'Alouette, capturée et vendue aux Anglais se trouve à Rouen, face à ses juges. Sur un ton tragicomique, cette pièce de théâtre présente les scènes d'accusation de l'évêque Cauchon assez compréhensif, de l'Inquisiteur borné, du promoteur sévère, du comte de Warwick, se voulant juste et fair-play, et les flash back qui retracent toute l'épopée de la Pucelle. Tour à tour naïve et insolente, Jeanne, toujours pleine de bon sens, leur tient tête crânement. Pourtant, devant les assauts répétés de ses contradicteurs, elle consent à renier ses actes et ses certitudes passées pour échapper au bûcher. Mais au dernier moment, dans un élan d'héroïsme, elle revient sur son abjuration et décide de devenir pour toujours l'héroïne qu'au fond d'elle, elle souhaite être, rejetant un destin médiocre de condamnée à perpétuité ou d'icône oubliée. Scène oubliée, le sacre de Charles VII à Reims termine la pièce en apothéose sur une Jeanne d'Arc triomphante pour l'éternité.
Pour Anouilh, Jeanne d'Arc n'est pas morte brûlée sur le bûcher, elle est la femme éternelle plus que la sainte de l'Histoire de France. Elle est immortelle car elle représente un concept : celui de la Liberté, de l'intelligence, du bon sens, de la sagesse du peuple, de l'indépendance face à la sottise bornée des puissants et des institutions établies dans leurs certitudes souvent creuses. Une pièce magnifique, pleine d'humour et de philosophie. | Nature du document : | Fiction |
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