Titre : | Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Eric-Emmanuel SCHMITT, Auteur ; Josiane Grinfas-Bouchipti, Commentateur | Editeur : | Magnard | Année de publication : | 2004 | Collection : | Classiques et Contemporains | Importance : | 66p.+ 40p. d'analyse littéraire et philosophique | Format : | 18x13cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-210-75467-6 | Note générale : | Moïse en rupture avec l'enfance est seul dans la vie et Mr Ibrahim aussi. L'un est sans doute juif, et l'autre peut-être arabe. C'est Momo qui va se faire le conteur rétrospectif de l'histoire merveilleuse de leur rencontre improbable. Par intermittence le narrateur adulte avec le recul du temps prend la place du narrateur qui entre dans l'adolescence ce qui apporte une note de respectabilité au récit. Peu à peu va se créer non seulement une intimité extraordinaire entre ces deux personnages que tout sépare au départ, mais encore entre le narrateur et le lecteur qui est pris comme interlocuteur silencieux. Très peu de personnages entrent en scène dans ce microcosme d'un quartier populaire juif de Paris. Ce qui exacerbe le sentiment de solitude de Momo et de Mr Ibrahim.
En phrases courtes mais riches, l'auteur a su transformer avec justesse ce qui était une pièce de théâtre monologue en une fable riche en émotions, en rires et en larmes. Ca a d'ailleurs, par la suite, donné un film ...
Le style est simple, fluide, très peu descriptif, minimaliste. On ne sait pas à quoi ressemble Momo, sinon qu'il est assez gros. Et malgré cela, on l'imagine très bien, car la langue est juste. Cette fable nous va droit au cœur car l'amour y est omniprésent ainsi que la compassion, la tolérance et au final la sagesse.
Cette histoire est un petit bijou de sagesse dont une phrase de Mr Ibrahim fait mouche : « Ce que tu donnes, Momo, c'est à toi pour toujours ; ce que tu gardes, c'est perdu à jamais. »
Chef d'œuvre assurément. | Langues : | Français | Catégories : | FICTIONS:Contes et légendes FICTIONS:Littérature Jeunesse FICTIONS:Qualités - Défauts:Sagesse FICTIONS:ROMANS:Romans psychologiques, philosophiques ou religieux FICTIONS:ROMANS:Romans sociaux FICTIONS:Sentiments / Ambiances:Amitié FICTIONS:Sentiments / Ambiances:Racisme - Antisémitisme FICTIONS:Sentiments / Ambiances:Rejet familial
| Index. décimale : | 82-32 Nouvelle. Histoire courte | Résumé : | Parce qu’il est rationné financièrement par son père, le petit Momo, 11 ans, se met à voler quelques petites choses pour vivre et se nourrir. Et c’est chez Monsieur Ibrahim, « l’Arabe du coin », qu’il perpétue ses forfaits. Mais l’épicier n’est pas si aveugle qu’il le pense, il est tout simplement philosophe et discret. S’engage alors un dialogue entre ces deux personnages que tout semble séparer. Et peu à peu, l’amitié entre le sage Monsieur Ibrahim pour qui le Coran n’est qu’une ligne de conduite faite pour s'adapter aux réalités de la vie, et le jeune garçon juif orphelin de cœur, prend les traits d’une relation filiale profonde et pure.
Dans ce petit conte prônant la tolérance, on apprend que l’homme n’a d'autres barrières que celles qu’il érige lui-même. Cette histoire pleine de charme est une allégorie de la recherche du bonheur et de la sagesse. | Nature du document : | Fiction | En ligne : | https://www.amazon.fr/product-reviews/2210754674/ref=acr_dpproductdetail_text?ie [...] |
Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran [texte imprimé] / Eric-Emmanuel SCHMITT, Auteur ; Josiane Grinfas-Bouchipti, Commentateur . - FR : Magnard, 2004 . - 66p.+ 40p. d'analyse littéraire et philosophique ; 18x13cm. - ( Classiques et Contemporains) . ISBN : 978-2-210-75467-6 Moïse en rupture avec l'enfance est seul dans la vie et Mr Ibrahim aussi. L'un est sans doute juif, et l'autre peut-être arabe. C'est Momo qui va se faire le conteur rétrospectif de l'histoire merveilleuse de leur rencontre improbable. Par intermittence le narrateur adulte avec le recul du temps prend la place du narrateur qui entre dans l'adolescence ce qui apporte une note de respectabilité au récit. Peu à peu va se créer non seulement une intimité extraordinaire entre ces deux personnages que tout sépare au départ, mais encore entre le narrateur et le lecteur qui est pris comme interlocuteur silencieux. Très peu de personnages entrent en scène dans ce microcosme d'un quartier populaire juif de Paris. Ce qui exacerbe le sentiment de solitude de Momo et de Mr Ibrahim.
En phrases courtes mais riches, l'auteur a su transformer avec justesse ce qui était une pièce de théâtre monologue en une fable riche en émotions, en rires et en larmes. Ca a d'ailleurs, par la suite, donné un film ...
Le style est simple, fluide, très peu descriptif, minimaliste. On ne sait pas à quoi ressemble Momo, sinon qu'il est assez gros. Et malgré cela, on l'imagine très bien, car la langue est juste. Cette fable nous va droit au cœur car l'amour y est omniprésent ainsi que la compassion, la tolérance et au final la sagesse.
Cette histoire est un petit bijou de sagesse dont une phrase de Mr Ibrahim fait mouche : « Ce que tu donnes, Momo, c'est à toi pour toujours ; ce que tu gardes, c'est perdu à jamais. »
Chef d'œuvre assurément. Langues : Français Catégories : | FICTIONS:Contes et légendes FICTIONS:Littérature Jeunesse FICTIONS:Qualités - Défauts:Sagesse FICTIONS:ROMANS:Romans psychologiques, philosophiques ou religieux FICTIONS:ROMANS:Romans sociaux FICTIONS:Sentiments / Ambiances:Amitié FICTIONS:Sentiments / Ambiances:Racisme - Antisémitisme FICTIONS:Sentiments / Ambiances:Rejet familial
| Index. décimale : | 82-32 Nouvelle. Histoire courte | Résumé : | Parce qu’il est rationné financièrement par son père, le petit Momo, 11 ans, se met à voler quelques petites choses pour vivre et se nourrir. Et c’est chez Monsieur Ibrahim, « l’Arabe du coin », qu’il perpétue ses forfaits. Mais l’épicier n’est pas si aveugle qu’il le pense, il est tout simplement philosophe et discret. S’engage alors un dialogue entre ces deux personnages que tout semble séparer. Et peu à peu, l’amitié entre le sage Monsieur Ibrahim pour qui le Coran n’est qu’une ligne de conduite faite pour s'adapter aux réalités de la vie, et le jeune garçon juif orphelin de cœur, prend les traits d’une relation filiale profonde et pure.
Dans ce petit conte prônant la tolérance, on apprend que l’homme n’a d'autres barrières que celles qu’il érige lui-même. Cette histoire pleine de charme est une allégorie de la recherche du bonheur et de la sagesse. | Nature du document : | Fiction | En ligne : | https://www.amazon.fr/product-reviews/2210754674/ref=acr_dpproductdetail_text?ie [...] |
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